Si les enjeux techniques d’internet restent palpables, Aliou Diaby CEO de All-todigital veut croire en la démocratisation de cette denrée pour faciliter la créativité du métier sur le continent. Selon ce jeune guinéen, “ c’est un domaine accessible, la seule limite c’est ton imagination ”.
Le métier de développeur web connaît une évolution en Afrique avec la dématérialisation des formations. Cette nouvelle approche permet à ceux qui le souhaitent d’apprendre sur place ou de s’exporter pour un retour d’expérience dans leur pays d’origine. Une situation qui n’est pas inaperçue comme le martèle Aliou Diaby « ça a beaucoup évolué ces dernières années. Il y a des évolutions au niveau des livraisons, achat en ligne, commande en ligne sur les sites web et même la restauration. Il y a aussi des formations mises en ligne qui facilitent l’évolution du métier de manière plus pratique ”
Malgré ce brin d’espoir, le manque de confiance aux spécialistes africains dans leurs différents pays reste à souligner parfois à compétences égales. Cela n’est pas du goût de ce jeune francilien : “ Il faut faire confiance à ceux (développeurs locaux NDLR ) sur place, miser sur la formation car ce n’est pas le talent qui manque ”.
Le manque à combler dans les institutions africaines est immense, ce qui conduit sur un terrain où “ tout est à faire, il y a de l’espace en Afrique, c’est les opportunités qui leur manquent «
En attendant que ces opportunités se fassent de plus en plus voir, le métier de développeur web fait partie des métiers les plus recherchés sur le continent.
Un bon developpeur je Conseil vivement