Le texte s’applique également au Parlement où 30% des 146 sièges devront être occupés par des femmes.
<< On ne doit plus entraver, rabaisser, intimider ou entraver les femmes qui veulent travailler dans le secteur public et ceux qui les soutiennent >>, a-t-il ajouté. Conscient que cela ne va pas être simple dans une société qui favorise traditionnellement les hommes, il a indiqué qu’ils surveilleront << les processus électoraux pour garantir l’équité et la transparence des élections >>.
Les employeurs qui ne respecteront pas cette loi risqueront une amende de 50.000 leones (2.400 euros) pour chaque infraction. Ceux qui dénient aux femmes l’égalité d’accès au soutien financier risquent au moins trois ans de prison, rapporte VOA Afrique.